Apprendre à piloter son capital santé sécurité par soi-même
Les approches, méthodes et principes pour gagner de nombreuses années de vie en bonne santé, selon votre situation initiale, âge, choix de bonnes pratiques, assiduité et mode de vie
Le livre pour fortifier sa santé et se prémunir des effets des virus grippaux et de la COVID 19 : en savoir plus
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- accéder aux réponses des quiz proposés à la fin de l’ouvrage : “Apprendre à piloter son capital santé par soi-même” suite à votre règlement.
Extrait :
Que signifie être en bonne santé ? Souvent c’est avoir mal nulle part ou ne souffrir d’aucune pathologie connue. Mais est-ce suffisant pour connaître notre niveau de santé ? Non. Prenons un compteur allant de 0 à 150 : Si à 0 on est mort, à 50 (+ou-45) on est malade, à 100 on ne l’est pas, mais « ça va », « on fait aller ». Beaucoup se contentent de 90/110, cependant rien nous empêche de viser 150 : je pète la forme !
Le capital santé est un peu comme le cours d’un titre en bourse. Le niveau du cours de l’action de l’entreprise, si on l’assimile au capital de l’individu, varie en fonction des conséquences de ses choix. des actes réalisés et résultats atteints. Aussi, la plupart des variations de notre état de santé que nous pouvons piloter sont liées à ce que nous avons en tête d’une part, et à ce qui se passe dans notre environnement d’autre part.
Les secrets d’une Mamie du Canada qui s’apprêtait, en août 2020, à fêter ses 100 ans en bonne santé ? Se réjouir de chaque instant, mais aussi soigner les relations sociales et affectives, bouger, manger sain. Cette philosophie appliquée quotidiennement, permet d’échapper à la seconde catégorie de personnes âgées : celles qui subissent et vivent mal la lente et souvent douloureuse dégradation de leurs fonctionnalités corporelles et celles de leur cerveau.
Si nous évoquons souvent les personnes «affaiblies » ou « en mauvaise santé », on entend moins parler des personnes «très dynamiques et en très bonne santé». La faute à la culture des mauvaises nouvelles ? L’état de santé s’inscrit dans une compréhension globale, où de nombreux déterminants sont à l’oeuvre. La mise en oeuvre de l’ensemble des facteurs pour atteindre cet « excellence santé » sur le long terme nécessite connaissance, pratique et évaluation.
S’il n’est pas possible d’échapper à quelques maladies, parfois d’origines virales ou héréditaires, si avoir des maux de santé peut relever de la malchance, une mauvaise santé est souvent le résultat d’un processus parsemé de mauvaises pratiques (résultant d’actes intentionnels ou d’omissions). Et comme notre médecine soigne des pathologies précises, la culture médicale ne nous donne pas les clefs pour les éviter.
Etre en très bonne santé plus longtemps que la moyenne ne relève pas du hasard non plus : il suffit d’apprendre comment. Cependant, les enseignements traditionnels ne font pas grand cas des connaissances nécessaires pour être heureux en très bonne santé. Par manque de connaissance et de responsabilisation individuelle, cet apprentissage se fait généralement sur le tas, parfois sur le tard, et s’accompagne de tout un cortège de problèmes regrettables.
La science ne sait pas tout, parfois elle se trompe, fait marche arrière. Nous l’avons vue avec les médecins qui saignaient les patients atteints de fièvre au moyen âge…et avec la recommandation de ne pas porter de masque en début de pandémie COVID 19 en 2020…
Reconnecter tête et corps, tirer le meilleur parti des fonctionnalités dont nous sommes pourvues, devenir responsable de notre santé pour éviter les pièges conduisant aux maladies, sur l’instant et durablement, voici le défi. Il relève de notre responsabilité individuelle et collective (celle des entreprises et des gouvernements) d’arrêter de subir les modes de vie qui diminuent notre capital santé.
Partager une méthode pour construire son capital santé individuellement, en s’inspirant des meilleures pratiques internationales, apprendre à piloter les 22 facteurs interférant sur notre santé, vivre mieux plus longtemps, prévenir les problèmes de santé, sécuriser notre vie sur le long terme en évitant médicaments et hospitalisations, évoluer de manière autonome au-delà de 100 ans : c’est l’objet de ce livre.
L’auteur :
L’auteur est consultant et auditeur certifié en système de management de la santé et de la sécurité, agrée IPRP (Intervenant en Prévention des Risques Professionnels), bénéficie de 20 ans d’expérience acquises par des missions en entreprises, sur plusieurs continents. Il est indépendant des laboratoires et du milieu médical.
Il révèle comment, à 56 ans, par une hygiène de vie, un entretien spécifique du corps et de l’esprit, il a évité la plupart des maux et des pathologies, afin d’utiliser son corps comme s’il avait 20 ou 30 ans de moins au compteur. Pratiquant plusieurs sports à l’âge de 5 ans, puis les arts martiaux avec des maîtres renommés jusqu’à ce jour, la pratique de disciplines douces lui a permis d’apprendre en continu sur le fonctionnement du corps, de son corps, de son moral et de son esprit.
L’auteur passe en revue les conditions pour cultiver, entretenir et préserver une très bonne santé, comme un capital, mais le plus précieux. Il propose des évaluations, des tests, des méthodes, des exercices pratiques, des cas réels, des dialogues ludiques, des quiz. Il partage les bonnes pratiques, ses expériences, observations et hypothèses en matière de pilotage optimal de la santé. Elles proviennent de savoirs ancestraux transmis par de grands maîtres (y compris du temple de Shaolin), de recherches au niveau international, sont interdisciplinaires, collectées au fil de voyages un peu partout dans le monde, d’entretiens professionnels ou privés avec plus de 2000 personnes, des cas vécus, de lectures, de résultats scientifiques et d’échanges avec des médecins.
Il aborde les enjeux, interactions et mauvaises et bonnes pratiques concernant plus de 22 déterminants de la santé : sommeil, poids, activité physique et muscles, force, alimentation, forme corporelle, niveau d’énergie, souplesse, résistance physique, dos et articulations (troubles musculo-squelettiques), relations affectives, relations sociales, activité sexuelle, environnement et habitudes de vie, système immunitaire, forme intellectuelle, morale, connexion à soi-même et surveillance de la santé, activité professionnelle, indépendance financière, indépendance par rapport aux addictions, phobies, stress et art de vivre.