Question : Pourquoi piloter notre santé ? Comment piloter notre santé ?
Nous nous souhaitons tous une bonne santé, la plupart d’entre nous souhaiteraient être en très bonne santé. Cependant, nous manquons de maîtrise dans le pilotage de notre santé. Le pilote que nous sommes provoque parfois la perte d’une bonne santé pré existante.
Notre santé nous réserve de mauvaises surprises, c’est généralement parce que nos priorités, nos pratiques et notre mode de vie sont à reconsidérer. Nous manquons de connaissance et de compétences pour avoir la vision globale des enjeux de santé. Nous manquons de compétences.
L’enjeu de bonne ou très bonne santé s’avère déterminant, en particulier dans le cadre de la pandémie virale avec la COVID 19. Cette pandémie emmène les personnes qui sont prioritairement âgées et/ou présentant d’autres diagnostics et pathologies que la COVID 19. Le pilotage proposé dans mon livre et sur mon site internet a une vocation préventive :
- Etre en bonne santé avant ce type de pandémie,
- mais a également une vocation corrective en pleine pandémie, car la durée de celle-ci reste inconnue en cette fin d’été 2020.
Être en bonne santé ne se résume pas à prendre les bons médicaments :
Développer les bons médicaments et des vaccins adaptés pour rester en bonne santé est une vision passéiste de la santé publique. En effet, dans la plupart des cas de maladies graves (obésité, cancers, diabète, maladies cardio-vasculaires ou liées au système digestif…), il apparaît que le mode et pratiques de vie, ainsi que les facteurs environnementaux sont de plus en plus souvent impliqués dans les causes des diagnostics. Il est préférable d’agir en amont, de manière pro-active, plutôt que d’attendre l’arrivée des maladies concernées.
Etre en bonne santé ne résulte pas seulement non plus de la prise en compte des 2 actions :
– bouger plus
– manger aussi 5 fruits et légumes par jour.
Ces 3 bonnes pratiques doivent être complétées par beaucoup d autres…
Cependant, si on adopte de mauvaises habitudes comme de fumer beaucoup déprimer au même moment, il faudra s’attendre à rencontrer des problèmes de santé sur le moyen ou le long terme.
Etre en bonne santé, c’est d’abord comprendre ce qui est bon pour nous et notre santé, sur le court et le long terme. Et aussi ce qui n’est pas bon :
Pour cela, pratiquer une analyse de risques portant sur nos activités et mode de vie, ex. : Je peux être en super forme morale, physique et intellectuelle, me sentir tout puissant, vouloir pratiquer des activités à risques très élevés comme les parcours de cross acrobatiques en moto, en vélo ou en ski ou en moto neige, puis perdre accidentellement la santé physique et intellectuelle à la suite de violents chocs à la tête avec une paralysie des membres inférieurs. Et je passe d’un niveau de santé physique, intellectuel et moral élevé à un niveau très bas. Mon capital santé est très endommagé.
Être en bonne santé, c’est une affaire de connaissance, de responsabilisation individuelle, de patience, d’entraînement régulier et de connexion avec soi-même :
– pour obtenir un capital immobilier ou des économies, il faut du temps : il en va de même avec le capital santé.
– Ex. concrets :
- Pour muscler son cœur et réduire le nombre de battements par minute, il faut s’entraîner plusieurs mois et souvent années.
- Pour devenir souple, il faut prendre du temps pour réaliser des exercices en étant patient avec soi-même… Et les réaliser régulièrement pour transformer le corps et atteindre le niveau de souplesse visé, sans se blesser.
- Si on gagne de l’argent en faisant du mal, notre âme va finira sans doute par nous rendre malade.
Les raisons principales du manque de maîtrise de notre santé :
- La santé ne fait pas l’objet d’un enseignement suffisant pour les citoyens depuis le plus jeune âge. Donc on apprend un peu sur le tas et sur le tard…
- La santé résulte d’interactions complexes entre des facteurs génétiques et épigénétiques, lesquels dépendent de notre environnement et de notre comportement.
- La santé est souvent associée aux soins, quand on est déjà malade. Là c’est parfois trop tard.
Les thèmes abordés portant sur le capital santé :
- Mon environnement et mes habitudes de vie
- Mon sommeil
- Mon poids
- Mon activité physique
- Mon alimentation
- Ma forme corporelle et mon niveau d’énergie
- Ma souplesse
- Ma force
- Ma résistance physique
- Mon dos et les articulations (TMS)
- Ma résistance immunitaire
- Mes relations affectives
- Mes relations sociales
- Mon activité sexuelle
- Ma forme intellectuelle
- Mon moral
- Ma connexion à moi-même et la surveillance de ma santé
- Mon activité professionnelle
- Mon indépendance financière
- Mon indépendance par rapport aux addictions
- Mes phobies
- Mon art de vivre.
Finalité du site et du livre : Donner de clefs pour apprendre à piloter son capital santé par soi-même
Le site www.capitalsantesecurite.fr présente :
- Une autre manière de santé considérer notre santé : comme un capital.
- Il questionne et aide à prendre de la hauteur sur les facteurs déterminants une bonne santé.
- Le site présente le livre “Apprendre à piloter son capital santé par soi-même”. Ce livre approfondit tous les facteurs déterminants en terme de santé, pour se constituer et préserver un bon capital santé sur le long terme.
- Je vous souhaite donc de vivre plus longtemps que la moyenne en très bonne santé, et que cela ne soit par un hasard.
Destinataires :
Pour les particuliers ou familles à titre privé :
- Comprendre toutes les interactions en matière de santé afin de l’optimiser globalement et durablement, plutôt que de bricoler des rustines et d’apporter des soins ponctuels ici ou là, dans une vision à court terme seulement.
- Faire face au vieillissement de notre corps à partir de 30, 40 et 50 ans pour se préparer une belle santé et se sentir en forme
Pour les entreprises et organisations :
- Réduire de 30% à 50% la facture des AT (accidents du travail) et des Maladies pro (TMS) dans les secteurs où l’utilisation du corps est importante (BTP, manutention, logistique, transport, propreté, maintenance…), mais aussi pour les sédentaires où le corps est peu sollicité.
- Réduire le taux d’absentéisme et de turn-over qui grèvent l’efficacité de l’entreprise et la satisfaction des parties intéressées (salariés et clients).
- Augmenter le bien-être au travail et faire de ce dicton une réalité : le travail c’est la santé.
Les coûts de santé sont de plus en plus importants, les conséquences d’une mauvaise santé sont très lourdes dans les sphères privées ou pro et il est de notre responsabilité de préserver notre capital santé avant tout autre.
Les connaissances qui ont permis d’élaborer ce les prestations proviennent de différentes sciences et d’une longue expérience relative aux arts martiaux, sports, pratiques, activités, disciplines et spécialités telles que : la diététique, la médecine occidentale (dont kiné) et traditionnelle chinoise, la gymnastique douce, la danse, les sports de glisse, le yoga, le kung fu, le karaté et le Qi kong (liste non exhaustive).
Le fonctionnement cognitif, s’il est essentiellement stimulé par ordinateur, favorise l’inactivité physique et sociale. Il accélère le déclin des systèmes majeurs d’adaptation physiologiques. L’inactivité majore les risques d’altération sensorielles, et de difficulté de concentration. Il en résulte des tendances à la dépression, à la désorientation spatio-temporelle et à l’agressivité. Un entraînement physique léger et des stimulations intellectuelles, affectives et émotives freinent les effets du vieillissement cognitif. Celui se traduit par une altération des fonctions mnésiques, une augmentation du temps de réaction, et une baisse de l’attention sélective. L’exercice physique joue donc un rôle très important pour maintenir l’état fonctionnel global et pour stabiliser ou améliorer des fonctions cognitives déjà altérées.
La sanction sur le long terme, c’est la dépendance, la perte d’autonomie. C’est une désorganisation physique et mentale qui, en plus de coûter très chère à l’individu ou à sa famille, entraîne la perte d’estime de soi et le retrait de la société. L’autonomie est une notion très subjective définie comme la liberté de diriger sa vie par ses propres moyens, qui implique une indépendance comportementale, qui permet non de subir mais de mener la vie sociale choisie, ce qui nécessite des capacités intellectuelles et physiques suffisantes. Il s’agit de préserver cette autonomie et de la prolonger.
Les individus actifs présentent moins de facteurs de risques et de pathologies chroniques que les sédentaires. Ils maintiennent plus longtemps leur autonomie fonctionnelle, augmentant ainsi la durée de leur jeunesse en reculant le temps de leur dépendance physique.
Les activités physiques et sportives, bien utilisées tendent à réintégrer la personne dans un mode relationnel qui redonne un sens et une valeur à la communauté de vie.
Améliorer ou préserver les capacités physiques, physiologiques et psychologiques : · pour un meilleur équilibre : Les effets du vieillissement sur la fonction d’équilibration sont à l’origine de l’augmentation des chutes, donc du risque de fractures avec ses conséquences sur l’autonomie des personnes.
La pratique d’activités physiques et sportives contribue à limiter les effets de l’avancée en âge et à prévenir les faiblesses et défauts d’attitude. Les exercices dynamiques sont préférables aux exercices statiques qui risquent de provoquer des troubles hémodynamiques par excès de pression. Préserver le plus longtemps possible des capacités de force garantit pour chaque geste de la vie quotidienne une autonomie préservée et une diminution des risques pour les individus.